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Que faire pour changer la société capitaliste ? Jean-Michel Toulouse (essai)

vendredi 3 juin 2016, par Groupe Société-Cultures

La France s’affaiblit. Où que nous dirigions nos regards, on ne constate que des situations de crise (économique, sociale, politique, idéologique et culturelle). Dès lors que faire ?

La France s’affaiblit. Où que nous dirigions notre regard, on ne constate que des situations de crise : crise économique avec stagnation et chômage, crise sociale avec explosion des inégalités (généralisation du précariat et concentration des oligarchies), crise politique avec des partis discrédités ou impuissants et un Front National qui capitalise les abandons, crise idéologique et culturelle qui peut faire basculer le pays vers le surgissement de la « bête immonde » : le néofascisme qui dans le livre aura un sens précis.
Dès lors que faire ? Ce livre n’est pas un fac-similé de l’ouvrage bien connu de Lénine ; ni un programme « prêt à être appliqué » par un gouvernement révolutionnaire. Il essaie d’ouvrir des pistes pour rendre possible une régénération de la gauche du XXIe siècle, un mouvement social puissant qui permettra l’instauration d’une nouvelle démocratie : la démocratie directe participative, une nouvelle appropriation des entreprises par le salariat, un nouvel internationalisme. Le livre met en en débat un certain nombre de propositions pour en finir avec le capitalisme.

Jean-Michel Toulouse est un ancien directeur d’hôpital, engagé mais sans
obédience. Dans cet ouvrage, il essaie de tirer du réel observé des leçons pour
demain. Docteur en droit, il a proposé dans sa thèse une réflexion et des
propositions sur la démocratie directe participative.

Rencontre - Signature le 3 juin 2016 - PARIS à partir de 19h à l’Espace Harmattan.

http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=50519
Editions l’Harmattan, 2016
Questions contemporaines
SCIENCES POLITIQUES ESSAIS POLITIQUES, SOCIO, ÉTHIQUE EUROPE France -ISBN : 978-2-343-08882-2 • mai 2016 • 214 pages

Messages

  • Depuis bien des décennies le collège 1 , des salariés(es) sont étoufés , muselés !poussés(es) de + en + nombreux toujours plus bas , dans cette société de + en + riche , gavés(es) , détournant à leurs profits les richesses produites par la France d’en bas : En effet , quasiment seuls(es) à participer à des grèves , pour tenter vainnement d’être écoutés , entendus = Les négodiations sur les salaires , en vue des reprises du travail n’ont donné lieu qu’à des majorations de salaires distribuées en % = N’accordant que des chiquettes en matière de majorations de salaires = Alors que les gens des collèges 2 et 3 , se sont gouinfrés(es) des pincées de fric d’autant plus importantes que les salaires étaient plus élevés = Ne participant que très peu aux grèves , défendant au mieux les intérêts patronaux (ainsi que la CFDT (et autres ....La CGC ....) devient la championne !!! Nous voyons aussi que les loyers amortissent un grand nombre de fois les logements dits sociaux ! Si on prend la peinne de lire les rapports annuels des institutions de retraites complémentaires = Nous pouvons constatter que des" transfers" de fonds sont réalisés de l’ARRCO aux profits de l’AGIRC , ces transfers peuvent atteindre jusque + de 2 milliards d’euros /an , ainsi que des transfers de fonds de l’ARRCO au profit de l’AGFF pouvant atteindre près de 1 milliard /an .......La liste serait longue à établir pour montrer les milles et unes façons d’apauvrir toujours+ la France d’en bas = J’appelle çà = Du détournement de fonds , de l’injustice caractérisée ...... Anti solidarité !!!

  • Bonjour. Le livre ne traite pas de ce sujet mais tu as raison de le mentionner : La lutte continue, et elle comporte une serieuse reforme de la Securite Sociale et notamment l’exclusion du patronat de la gestion de ses caisses ! Cordialement. jm Toulouse

  • Bonjour M. Toulouse,
    Malgré mon âge (quasiment certain), je suis étonné d’être considéré comme un ancêtre du néo-fascisme et nous souhaiterions, avec mon ami "De Gaulle", dialoguer avec vous, de vive voix.. Malheureusement nous n’avons pas vos coordonnées.
    Dans cette attente, recevez mes sincères salutations et félicitations pour vos écrits.
    Le Jaïme