Le « revenu d’existence » est de plus en plus présenté, dans une partie du mouvement social, comme une réponse qui serait évidente à l’enracinement du chômage de masse et de la précarité.
Nous défendons ici l’idée qu’il s’agit d’une mauvaise réponse à de vraies questions, et que la bataille pour un revenu d’existence déconnecté de l’emploi représente une impasse, théorique et politique, dangereuse. Mais surtout, le point aveugle de cette discussion reste la question de l’autonomie des femmes.
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