C’était il y a déjà plus de trois ans. La Grèce se voyait accorder un premier « sauvetage » qui allait l’entraîner avec une vitesse fulgurante dans une crise sociale, économique et politique d’une violence considérable. A la récession et au chômage sans précédents s’ajoutent désormais les velléités autoritaires du Premier ministre Antonis Samaras, illustrées par sa décision brutale de fermer l’audiovisuel public grec.
Une décision qui s’inscrit dans un contexte déjà lourd : menaces de mobilisation forcée voire d’arrestation de grévistes, suspension des conventions collectives, ratonnades organisées par le parti (...)
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