À propos de la loi sur la lutte contre le système prostitutionnel
30 novembre 2013, 19:57, par Jean Richard VEDY
Ce texte oublie une notion fondamentale de l’économie : La loi de la demande…
Doit ’on punir le pauvre qui achète un sandwich et l’empêcher de manger ?
Doit ‘ on punir le pauvre qui achète de l’eau et l’empêcher de boire ?
Allons-nous punir celui qui achète du sexe pour avoir un équilibre sexuel ?
N’est ’il donc pas possible de contrôler le bisness du sexe, d’en percevoir une TVA, de contrôler les différents rouages pour offrir une sexualité, certes superficielle, mais une sexualité propre. Il y a une demande comme il y a une offre propre, tarifée mais propre. Il existe une offre qui ne subit aucune contrainte, qui est libre dans son choix de vie, une offre évidemment très éloignée de la prostitution des rues, très éloignée du trafic d’humains. Cette offre est très minoritaire mais elle existe et doit être prise en considération.
Dans bien d’autres secteurs, l’état est un « macro ! » car il n’existe que grâce à un système de taxe extrêmement élaboré. L’Etat est ‘il timoré au point de ne pas vouloir mettre au grand jour ce qu’il fait dans la pénombre des cabinets : « Contrôler les affaires…." L’Etat n’attend qu’une chose….un feu vert ! Entendez le discours de certaines prostituées, vous verrez qu’il existe un créneau qu’il ne faut pas ignorer....sinon nous ne ferons que déplacer le problème....sans rien résoudre. Une fois de plus !... Ré ouvrons les maisons closes.
Ce texte oublie une notion fondamentale de l’économie : La loi de la demande…
Doit ’on punir le pauvre qui achète un sandwich et l’empêcher de manger ?
Doit ‘ on punir le pauvre qui achète de l’eau et l’empêcher de boire ?
Allons-nous punir celui qui achète du sexe pour avoir un équilibre sexuel ?
N’est ’il donc pas possible de contrôler le bisness du sexe, d’en percevoir une TVA, de contrôler les différents rouages pour offrir une sexualité, certes superficielle, mais une sexualité propre. Il y a une demande comme il y a une offre propre, tarifée mais propre. Il existe une offre qui ne subit aucune contrainte, qui est libre dans son choix de vie, une offre évidemment très éloignée de la prostitution des rues, très éloignée du trafic d’humains. Cette offre est très minoritaire mais elle existe et doit être prise en considération.
Dans bien d’autres secteurs, l’état est un « macro ! » car il n’existe que grâce à un système de taxe extrêmement élaboré. L’Etat est ‘il timoré au point de ne pas vouloir mettre au grand jour ce qu’il fait dans la pénombre des cabinets : « Contrôler les affaires…." L’Etat n’attend qu’une chose….un feu vert ! Entendez le discours de certaines prostituées, vous verrez qu’il existe un créneau qu’il ne faut pas ignorer....sinon nous ne ferons que déplacer le problème....sans rien résoudre. Une fois de plus !... Ré ouvrons les maisons closes.