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Oligarchie-impérialisme : un adversaire unique (Martine Boudet)

Contribution au séminaire du 29 juin

dimanche 16 juin 2013, par Groupe Société-Cultures

Le séminaire CA - CS - Fondateurs - Commissions vient au bon moment, il faut saluer cette démarche. C’est l’occasion de rechercher des compléments utiles aux activités ; cette contribution fait suite à des travaux collectifs sur les problématiques suivantes ( les textes sont donnés en annexe) :
-la question oligarchique : ou la démocratisation de la gestion des affaires publiques
-La question impérialiste : la solidarité avec les peuples du Sud
- le choc des civilisations : pour le dialogue des cultures et une authentique société de la connaissance.

I- la question oligarchique : ou la démocratisation de la gestion des affaires publiques
A- Analyse de la situation

La crise politique qui menace l’alternance gouvernementale en France résulte, entre autres facteurs principaux, de la prédominance de la gestion oligarchique des institutions. Le parasitisme d’une partie de la classe politique, inféodée au système de prédation néo-libéral, est devenu patent, grâce aux efforts conjugués des contre-pouvoirs médiatique, judiciaire et citoyen (associations de la société civile). L’actualité du 26 juin, qui a cumulé des péripéries relatives aux affaires de Karachi, du Crédit lyonnais, de Cahuzac et de DSK… signale l’overdose atteinte dans le pays. La virulence de la réaction à la nécessaire cure de désintoxication s’est manifestée récemment par la fronde d’une centaine d’élus hostiles au travail de la justice républicaine (1). La crise budgétaire et du chômage sous l’effet de cette gouvernance s’amplifiant au même moment, ce cocktail explosif est exploité par un FN promu 3e parti de France. Dans cette mouvance, s’organisent des forces fascisantes, à l’origine de morts tragiques : suicide d’un historien d’extrême-droite, meurtre de Clément Méric…Est inquiétant aussi l’effritement du front républicain, constitué à l‘occasion de l’élection partielle dans la ville de J Cahuzac, suite à sa démission . Les élections intermédiaires indiquent d’une manière générale une tendance nette à l’inversion du rapport des forces issu des élections de mai –juin 2012 et qui ont vu la chute du sarkozysme, comme système organisé de délinquance politico-financière.
Comment contribuer à sauver cette première victoire des forces progressistes, qui se manifeste par la perte des pouvoirs d’Etat pour le parti de la bourgeoisie nationale, l’UMP ? Comme il en a été discuté aux Assises du 16 juin (2), comment transformer cet essai et contribuer à l’avènement d’une République plus démocratique, sociale, écologique et solidaire ? Comme dans toutes les périodes de crise politique caractérisées par un affrontement direct de classes et d’intérêts, l’union des forces vives et de progrès est une condition salutaire.

B-Bilan d’activités dans ce secteur

Sous l’ère sarkozyenne, en phase avec des mobilisations populaires d’envergure, la grande bataille d’Attac a été celle des retraites, menée avec la fondation Copernic. Cette bataille légitime, axée sur la défense et la promotion d’un acquis social primordial, s’est pour autant cantonnée à un cadre para-syndical (3). Alors que, dans le même temps, comme écrit précédemment, se mettait en place un système organisé d’escroquerie parasitant la vie du pays et conduisant à la montée proportionnelle de l’extrême-droite (4).
Certes, le comité d’audit citoyen (CAC) s’attache à la résorption de la fraude fiscale, à laquelle s’est ajoutée la campagne, tout aussi bienvenue, pour l’abolition des paradis fiscaux, suite à l’affaire Cahuzac. Mais, pour le citoyen lambda, l’expertise du système fiscal, des marchés financiers et des mécanismes européens reste abstraite, technicienne et impersonnelle si manque la dimension humaine qui est celle de la gouvernance politique, issue du suffrage populaire et première responsable de la gestion des affaires publiques. A voir l’exploitation qu’en fait en négatif le FN, la critique systématique de la classe politique étant son fonds de commerce.
La centration sur différents objectifs, environnemental, international –surtout les questions européennes- et para-syndical –concernant les acquis sociaux-
est parfaitement légitime, elle donne lieu à des travaux remarquables et d’une expertise précieuse ; il manque pour autant cette cible médiane que sont les institutions nationales. Cet objectif est d’autant plus important que l’association est reconnue comme étant une instance fédérant de nombreuses forces progressistes. Ainsi, les groupes et commissions qui se consacrent tant aux services publics de l’Etat social – Enseignement-recherche, Santé, Services publics…- qu’aux institutions de l’Etat impérial – le groupe Paix pour l’armée et les lobbies militaro-industriels, le groupe Afrique pour la coopération Afrique-France et la françafrique…- sont trop peu sollicités. Même chose pour les fondateurs spécialisés dans ces secteurs, dont les syndicats enseignants…Une occasion de diffusion des idées altermondialistes et de recrutement de cadres pour le CS a été manquée au moment de l’importante grève universitaire de 2009. Le groupe Démocratie gagnerait aussi à devenir une commission aux prérogatives élargies.
Cette limitation fait abstraction d’une réalité bien française, qui est celle d’un Etat centralisé et fort, que ce soit sous sa forme sociale (les services publics et autres acquis sociaux garantis par l’Etat …) ou impériale (voir l’interventionnisme militaire ou diplomatique de la France, membre du Conseil de sécurité de l’ONU, leader des sommets européens ou francophones…). C’est l’une des raisons principales de la sous-médiatisation de l’association, qui méconnaît les relations, à la fois d’identification et de distanciation, existant historiquement entre les citoyens et l’Etat-nation. C’est aussi l’une des raisons de la stagnation du mouvement des Indignés dans le pays : la démocratisation citoyenne est bien sûr à valoriser, de même que les remarquables avancées de l’ESS, au niveau de l’organisation autonome de la société civile comme contrepoids à l’Etat ; mais ces démarches ne peuvent occulter la question structurante des dynamiques et réformes (inter) institutionnelles.
Comme dit par d’autres, la crise du recrutement (5) , répercutée d’année en année, est à analyser : elle est symptomatique d’une difficulté à s’adapter à la complexification des enjeux de la période.
La raison fondamentale de cette baisse régulière des effectifs n’est pas vraiment technique (relevant d’un manque de stratégie de communication des CL ou du national….), elle est surtout politique, liée à la limitation des orientations prises par l’association. La construction d’un courant altermondialiste en France et en Europe est-elle dissociable en effet d’une critique constructive de la gestion des pouvoirs institutionnels, de leurs relations au monde de la finance et de l’entreprise, ainsi que du combat anti-impérialiste et solidaire afférent ? Un exemple gagnant est celui de l’altermondialisme latino-américain qui collabore avec les mouvements sociaux et politiques pour la conquête et la transformation par les peuples des pouvoirs d’Etat, condition de la construction d’un monde multipolaire.
De ce point de vue, les membres fondateurs spécialisés dans l’enseignement, les services publics, la justice... peuvent jouer un rôle important de relais. Quelle collaboration avec le syndicat de la magistrature et les associations de lutte contre la corruption (Anticor, Transparency international…) pour la défense de l’égalité face à la loi, à l‘impôt… ? Quelle mobilisation sur le terrain de la démocratie sociale, au moment où, par exemple, le gouvernement renonce à la loi sur l’amnistie sociale votée par le Sénat, en faveur de ceux qui ont dû combattre les abus du pouvoir sarkozyen ? Quelle construction autogestionnaire des savoirs et des cultures est possible à l’Université, à l’Ecole, pour contrecarrer le dispositif néo-libéral qui influe sur les programmes et entraine la crise des valeurs juvéniles et sociétales ? Quelle modélisation inter-institutionnelle esquisser, pour parer aux dérives corporatiste, individualiste, communautariste et se réapproprier la gestion des services publics de l’intérieur… ?
Un exemple récent de réussite à compléter sur le terrain des alternatives : grâce à la mobilisation universitaire, celui du maintien de la CPU comme cadre de gestion nationale du recrutement et des carrières des enseignants-chercheurs (6) .
A l’opposé des menaces de décomposition politique sous la double dérive oligarchique et fascisante, l’actualisation du logiciel (inter) associatif passe donc par la prise en charge de la construction volontariste d’une autre République. Une perspective intéressante dans ce sens, la tenue des Assises du 16 juin « Pour changer de cap en France et en Europe ». Cette démarche unitaire est prometteuse, de même qu’en interne, la publication du Petit manuel de la transition (7), ouvert à des sons de cloche nouveaux.

II- La question impérialiste : la solidarité avec les peuples du Sud

Le débat un peu erratique mené à propos du soutien à apporter à A Traoré et aux opposants maliens est symptomatique d’une difficulté, concernant la gestion des relations internationales, sous l’angle Nord-Sud. L’association, pourtant de vocation altermondialiste, intègre peu de représentants de l’immigration non européenne (8) . L’absence de gestion des relations avec les Attac d’Afrique freine le développement de part et d’autre. La collaboration des fondateurs ou associations partenaires est peu sollicitée en relation avec leurs objectifs propres de solidarité (inter)nationale : le CADTM (qui contribue dans le cadre du comité d’audit de la dette publique française), le CEDETIM, le CRID, Survie, le MRAP …Dans le contexte du surendettement public en France et en Europe, la cause de l’annulation de la dette des pays du Sud est passée à la trappe.
Cette difficulté ne se retrouve pas qu’à Attac : en l’absence d’analyse du système néo-colonial, la gauche française reste enfermée dans un carcan géo-politique, l’ouverture ne valant qu’à l’égard du monde de l’immigration et des banlieues, et encore de manière aléatoire. Avec la crise systémique, le risque est réel de repli sur des démarches communautaires franco-françaises, comme le montre, sur la liste des intervenants aux Assises du 16 juin, l’absence de représentants des minorités visibles ou des Dom-Tom (9) . Renonçant pour l’instant à assumer ses tâches naturelles de solidarité avec les peuples du Sud et d’alerte à l’égard des crimes commis au nom des citoyens français, s’inscrivant dans le consensus nationaliste par son silence sur ces questions, la gauche de la gauche apparaît en fait comme co-responsable de la pérennité du système françafricain. Le calvaire du peuple ivoirien, en résistance à l’imposition d’un régime dictatorial dure depuis deux ans déjà dans l’indifférence générale, sauf exceptions (10). L’une des conséquences en est la minoration de l’altermondialisme en France et en Europe, comme recours géo-politique face à l’autoritarisme fascisant de l’Etat français, dont l’extrême-droite est une pâle copie dans l’hexagone.
En prenant exemple sur la culture politique du peuple belge qui a construit de longue date des liens avec l’ex-colonie le Congo-Kinshasa (11) , ou celle d’Espagne qui coopère avec des peuples latino-américains résolument émancipés de la tutelle métropolitaine, il est possible de positiver la communauté de destin francophone et de développer dans la citoyenneté française, par delà les logiques historiques de domination, le sens du partage ou de son contrôle démocratique (12). Ainsi, un lien est à établir entre l’overdose des affaires oligarchiques, exceptionnelle à l’échelle de l’UE -2 présidents de la République respectivement condamné et inculpé, 2 présidents du FMI mis en cause, 1 président du Conseil constitutionnel condamné, de nombreux ministres et élus…- et la capacité de nuisance des équipes françafricaines, premier acteur historique de cette nomenklatura. Etant donné le degré de démantèlement des souverainetés nationales dans les pays africains satellites (Côte d’Ivoire, Mali…), la mobilisation pour un meilleur contrôle des composantes oligarchique et impériale de l’Etat est devenue une urgence démocratique (13) . Pour éviter le retour de bâton d’une droite autoritaire et xénophobe, ce recours est une nécessité dans le pays également. Une telle orientation permettrait enfin de se démarquer nettement des autres courants anti-libéraux, notamment nationalistes et réactionnaires–jusqu’au FN- qui ont contribué à la réussite du non au TCE en 2005 et de construire une voie altermondialiste lisible et visible dans le pays et à l’échelle de l’UE (14).
Dans cet ordre d’idées, dans le cadre notamment du CAC, de l’altersummit, du tribunal des fauteurs de crise, pour la concrétisation des objectifs du Petit manuel de la transition, serait précieuse une campagne dénonçant l’économie de guerre alimentée par les lobbies militaro-industriels pour asservir les peuples africains et qui grève les budgets publics au nord, demandant la fin ou le contrôle des OPEX (ou opérations militaires telles celle de la force Licorne en Côte d’Ivoire, Epervier au Mali…), au profit d’ une authentique aide au développement dans le domaine du transfert des technologies, comme le préconise Aminata Traoré (15), par exemple.
« Les dettes illégitimes et odieuses, c’est-à-dire celles dont l’origine et l’usage ont été contraires aux besoins et intérêts des peuples, doivent être annulées ou restructurées. Un moratoire sur les intérêts de la dette doit intervenir rapidement, pendant qu’une commission d’enquête parlementaire, à laquelle seront associés des représentant-es des syndicats et associations investis sur ce thème, examinera l’origine de la dette publique . (…) L’audit doit permettre de définir les budgets illégitimes qu’il importe de réduire rapidement (en matière de dépenses et d’interventions militaires, de grands projets inutiles et imposés...). »(16)

III- Le choc des civilisations : pour le dialogue des cultures et une authentique société de la connaissance

De même que la sous-estimation des incidences de la culture politique nationale, celle des critères psycho-sociaux et éthiques (l’alimentation des idéaux en particulier auprès de la jeunesse, le "capital sympathie » ....) est une cause de la perte d’effectifs et du vieillissement de l’association. A noter la disparition d’Attac campus et la stagnation du projet Djeuns. Est-il possible de recruter et de fidéliser sur une base assez principalement pragmatique ou de défense des intérêts nationaux ou européens ? En l’absence d’une actualisation des objectifs d’éducation populaire, de son adaptation aux nouvelles données idéologiques, culturelles, médiatiques, l’objectif semble difficile à réaliser. Ce même obstacle au renouvellement de l’humanisme européen explique l’arrêt des FSE et le caractère décevant de l’altersommet, à la différence des dynamiques FSM qui se sont tenus dans les pays du Sud, au Brésil et dans différents pays d’Afrique.
L’un des moteurs de ces mobilisations est la fraternisation, celle que pratiquent les jeunes de différentes origines sur les bancs de l’école et de l’université, sur les stades…L’intérêt de conjuguer le dialogue des cultures, comme le promeut la commission Migrations, est de combattre les représentations populistes, islamophobes, négrophobes… à l’origine des politiques xénophobes et fascisantes.
De la même manière, dans le cadre cyber-culturel et médiatique néo-libéral, des formes occidentales d’intelligence artificielle, technicienne et calculatrice, sont à l’oeuvre sur les terrains stratégiques –militaire, mercantile…- et tendent à détruire les acquis des sciences humaines et langues-cultures : cette « économie de la connaissance » inhumaine doit être combattue avec des armes proportionnelles. Le CS gagnerait à reconnaître les travaux effectués dans les domaines de la géo-politique, de l’anthropologie culturelle et des SHS de manière générale. En complément des travaux du cercle des Economistes atterrés, de la fondation Copernic, la création du collectif Champ libre aux sciences sociales est source d’espoir (17). A l’opposé de l’économie de la connaissance, il s’agit d’édifier une authentique société de la connaissance dans laquelle savoirs, cultures et autres produits immatériels seraient préservés et enrichis en tant que biens communs de l’humanité.
Dialogue des cultures, édification d’une société de la connaissance, qui s’ajoutent aux objectifs de la démocratisation institutionnelle et des relations internationales : autant de voies et moyens altermondialistes intéressants à théoriser et à mettre en pratique. Le texte de présentation de la future revue du CS semble de bon augure, dans cette perspective.


Pour conclure, ces enjeux ne concernent pas que l’avenir de l’association. A l’occasion de la journée du 1er mai, les médias ont établi un diagnostic clair : une bataille idéologico-médiatique a été perdue et les conséquences, on les connaît : si la gauche de la gauche ne prenait pas toutes ses responsabilités (au lieu de renvoyer la balle des responsabilités de la crise à la seule gauche de gouvernement), la réaction l’emporterait. La mort de Clément Méric ne doit pas en être le triste symbole annonciateur.
Il importe donc de sortir de l’enfermement dans une forme de socio-écolo-économisme européocentré. L’intégration des différentes composantes du champ associatif -institutionnel, géo-politique, culturel- apparaît nécessaire, pour répondre aux défis complexes de la mondialisation. Attac, qui a vocation à fédérer, est à même de relever ce nouveau défi.

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Notes
(1) http://www.lepoint.fr/societe/henri-guaino-beneficie-de-la-fronde-d-une-centaine-de-deputes-ump-contre-le-juge-gentil-11-05-2013-1665475_23.php
(2) Proposition avait été faite de politiser la campagne sur la question oligarchique , avec la demande de démission du ministre chargé du dossier et mis en cause dans l’affaire Bettencourt, E Woerth.
(3) Projet de 4 pages proposé sur les affaires de l’oligarchie (2010)
https://blogs.attac.org/groupe-societe-cultures/contributions-vie-associative/article/pour-un-controle-democratique-de
(4) Données du siège (30 04 2013)
Retard de 429 adhésions par rapport à l’an dernier (et 1500 par rapport à 2009-2010).
Toujours un faible niveau des nouvelles adhésions : 296 au lieu de 650 les deux dernières années.
(5) Pétition nationale lancée par la commission permanente des sections CNU (CP-CNU) afin de demander le maintien des procédures de qualification par le CNU.http://www.petitions24.net/cpcnu
(6)Attac % : Petit manuel de la transition (pour toutes celles et ceux qui aimeraient mais doutent qu’un autre monde soit possible) 2013 http://www.editionslesliensquiliberent.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=74
(7)Adda Bekkouche, La condition politique des Français d’origine non européenne
https://blogs.attac.org/groupe-societe-cultures/articles-societe-politique/article/la-condition-politique-des
(8) http://www.assises16juin.fr/IMG/pdf/prog_assises_16_juin_montreuil.pdf
(9)Demandes parlementaires renouvelées d’une commission d’enquête parlementaire sur le bilan d’activités de la force Licorne
http://www.assembleenationale.fr/14/propositions/pion0131.asp (2012)
http://www.assemblee-nationale.fr/13/propositions/pion3647.asp (2011)
Reportage de la RAI (chaîne de télévision italienne) sur les responsabilités françaises dans la guerre civile en Côte d’Ivoire http://www.youtube.com/watch?v=eSumHaxLh4U&feature=youtu.be
Rapport d’Amnesty international http://www.amnesty.fr/Presse/Communiques-de-presse/Cote-d-Ivoire-Il-est-temps-de-mettre-fin-au-cycle-de-represailles-et-de-vengeance-6576
Survie (2012), Côte d’Ivoire : pour un examen de l’action de l’opération française Licorne http://www.france.attac.org/archives/spip.php?article12563
Côte d’Ivoire : le PCF exige l’arrêt immédiat de l’engagement militaire français (2011) http://www.pcf.fr/8702
Jean-Luc Mélenchon, toujours constant à propos de la Côte d’Ivoire,
http://www.youtube.com/watch?v=Qrj_CT5eZNc
Jean-Luc Mélenchon, Malheur aux vaincus ivoiriens
http://frindethie.wordpress.com/2013/05/16/malheur-aux-vaincus-ivoiriens-jean-luc-melenchon/
(10)Congo, une histoire de David Van Reybrouck (Actes sud)- prix Médicis 2012
A La Té Sunogo/Dieu ne dort pas de Jean-Louis Sagot-Duvauroux (2013)
https://blogs.attac.org/groupe-afrique/article/a-la-te-sunogo-dieu-ne-dort-pas
(12) De l’urgence de la démocratisation des relations Afrique-France-monde (inter-collectif Afrique)
(13) Attac France, Petit manuel de la transition (2013)
(15) http://blogs.mediapart.fr/blog/kakadoundiaye/050513/le-discours-daminata-traore-analyse
Plutôt que de déployer 15 000 Casques bleus, remplaçons-les par 15 000 ingénieurs qui viendront en aide au Mali.
http://www.alterinfo.net/Aminata-Dramane-Traore-militante-altermondialiste-et-ancienne-ministre-malienne-de-la-Culture-et-de-Tourisme-Le_a91684.html
http://www.malijet.com/a_la_une_du_mali/74935-conference-internationale-des-societes-civiles-des-pays-du-sahel.html
(16) Attac France, Petit manuel de la transition (2013)
(17) Champ libre aux sciences sociales : appel d’universitaires franco-européens
http://www.champlibre.org/qui-sommes-nous/appel-fondateur/
http://www.mediapart.fr/journal/france/120613/lagonie-les-sciences-sociales-contre-attaquent
http://www.champlibre.org/grande-soiree-le-22-juin-2013-les-sciences-sociales-en-revoltes/
Cri d’alarme et appel à mobilisation


Annexe :
Contributions collectives
Contextualisation géo-politique
http://blogs.attac.org/groupe-afrique/article/a-propos-des-relations-nord-sud

Oligarchie politico-financière vs démocratie
https://blogs.attac.org/groupe-societe-cultures/contributions-vie-associative/article/pour-un-controle-democratique-de

Analyse inter-institutionnelle
https://blogs.attac.org/groupe-societe-cultures/contributions-vie-associative/article/pour-le-controle-de-la-gestion-des

Objectifs du groupe Société-Cultures
http://www.france.attac.org/archives/spip.php?article12378

La démocratie au coeur du combat altermondialiste
http://www.france.attac.org/archives/spip.php?article11522

Economie de la connaissance
http://www.france.attac.org/archives/spip.php?article9411

La démocratie cognitive et culturelle source d’émancipation du néo-libéralisme
http://www.france.attac.org/archives/spip.php?article11536