Le silence assourdissant d’Attac sur les questions de migration (pas un mot à ce sujet dans le texte d’orientation du dernier congrès) se justifie pour nombre de militants de deux façons.
La première raison évoquée est qu’Attac doit s’en tenir au cœur de sa vocation : dénoncer les aspects économiques et financiers de la mondialisation libérale ; et ne saurait prendre en charge l’ensemble de ses conséquences.
Réduire les migrations à une conséquence parmi d’autres de la mondialisation, peut apparaître (...)
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