Si la mobilisation, historique, des Gilets jaunes dynamise profondément la vie socio-politique depuis un an, et si elle constitue une référence à l’échelle internationale également (1), ses suites donnent lieu à de multiples interrogations.
Centralité de la question démocratique
La répression policière et judiciaire dont elle fait l’objet est méthodiquement gommée, au profit d’une lecture sécuritaire qui amalgame souvent Gilets jaunes et casseurs d’une part, et d’autre part, présente la note des passifs occasionnés dans cette période : destruction de matériels (...)
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