Le clivage qui s’est formé au sein du mouvement féministe, entre les courants dénommés « féminisme universaliste » et « féminisme intersectionnel », est en grande partie artificiel et non pertinent. Il affaiblit pourtant de manière considérable la capacité des féministes de lutter contre les régressions sociales, économiques et sociétales en cours, lutte qui fait pourtant partie de nos urgences.
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